Resumen:
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[EN] This article reviews some actual trends in rabbit nutrition.
To be more competitive with poultry and pig production, a further
reduction of the overall feed conversion rate of rabbitries till 3.25 is
necessary. ...[+]
[EN] This article reviews some actual trends in rabbit nutrition.
To be more competitive with poultry and pig production, a further
reduction of the overall feed conversion rate of rabbitries till 3.25 is
necessary. Genetic, management and nutritional improvements are
simultaneously possible to achieve this goal and are discussed in this
paper. A trend towards phase feeding is observed in rabbit nutrition.
Several arguments are given: (i) requirements of fatteners are different
shortly after weaning compared to the finishing period; (ii) by matching
the dietary protein (amino acids) to the age related requirements, diets
with a lower protein level can be fed, resulting in a significan! reduced
N-excretion. This is of special importance to reduce the environmental pollution, in areas with a high density of animal production. Finally, (iii)
energy concentrated diets can be fed in the finishing period to improve
the feed conversion rate. A policy till a further banning of feed additives
can be expected. Disease control, including dietary safety will be of
increasing interest. The role of dietary fibre and starch on rabbit health
has recently been better defined. Lignin has a predominan! role on the
transit time and to reduce the incidence of enterits. A lignin (ADL>5%),
starch (<13.5%) and cellulose constrain (>15%) is suggested in diet
formulation for young rabbits instead of a single recommendation for
crude fibre or ADF. However, dietary fibre and starch recommendations
are depending from age and physiological status.
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[FR] Cet article passe en revue quelques unes des tendances actuelles de
l'alimentation du lapin. Pour étre plus compétitif vis a vis du poulet et du
pare, une réduction de l'indice de consommation globale vers 3,25 ...[+]
[FR] Cet article passe en revue quelques unes des tendances actuelles de
l'alimentation du lapin. Pour étre plus compétitif vis a vis du poulet et du
pare, une réduction de l'indice de consommation globale vers 3,25 est
nécessaire chez le lapin. Ce but peut étre atteint par des améliorations,
qui sont discutés dans cet article, dans les domaines de la génétique,
de la gestion et de la nutrition. On observe une tendance vers une
alimentation « multi-phase » du lapin. Plusieurs arguments sont
donnés : (i) les besoins des lapins en engraissement sont différents
dans la période proche du sevrage de ceux de la période de finition, (ii)
en adaptan! les protéines du régime (amino acides) en fonction des
besoins liés a rage, il est possible de donner des aliments moins riches
en protéines, ayant pour résultat une réduction significative de l'azote excrété. Ceci est d'une importance capitale, afin de réduire la pollution
environnementale, dans les régions a fortes production animales. Enfin
(iii) des aliments riches en énergie peuvent étre distribués duran! la
période de finition pour améliorer l'indice de consommation. Une
politique bannissant les additifs alimentaires sera de plus en plus
nécessaire. Un contróle sanitaire, incluant la sécurité des aliments, se
révéle d'un intérét croissant. Le róle des fibres alimentaires et de
l'amidon sur la santé des lapins a été mieux décrit récemment. La
lignine a un róle prédominant sur le temps de transit et sur la réduction
des risques d'entérite. Pour les lapereaux, un aliment formulé avec des
contraintes de lignine (ADL>5%), d'amidon (<13,5%) et de cellulose
(>15%) est préconisé a la place de la seule recommandation de fibres
brutes ou ADF. Cependant les recommandations pour les fibres et
l'amidon de l'aliment sont dépendantes de l'age et du statut
physiologique.
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