Resumen:
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[ES] El artículo analiza el uso que Le Corbusier hace de la fotografía para la publicación y difusión de su obra en las décadas de 1920 y 1930, proponiendo la Ville D’Avray como ejemplo paradigmático. Apoyándonos en la ...[+]
[ES] El artículo analiza el uso que Le Corbusier hace de la fotografía para la publicación y difusión de su obra en las décadas de 1920 y 1930, proponiendo la Ville D’Avray como ejemplo paradigmático. Apoyándonos en la interpretación de la fotografía surrealista como signo y escritura realizada por Rosalind Krauss (1981), proponemos una lectura alternativa a la realizada por Colomina (1988) del uso de la fotografía en la edición y publicación. Entendiendo la fotografía como soporte material y repositorio de información –una suerte de archivo visual preparado para ser manejado como evidencia documental pero también como instrumento autónomo en la construcción de nuevos significados, se describe una estrategia de edición de las fotografías caracterizada por la autonomía con respecto a la realidad material y su manipulación con procedimientos próximos al Surrealismo. Desde este punto de vista crítico, la fotografía sería una técnica para producir no ya imágenes sino ‘signos’ cuya función es ensanchar y ampliar nuestro entendimiento de la realidad y de sus potencialidades.
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[FR] L'article analyse l'usage que fait Le Corbusier de la photographie dans la publication et la diffusion de son oeuvre au cours des années 1920 et 1930, en prenant comme exemple paradigmatique de la Ville Church, ...[+]
[FR] L'article analyse l'usage que fait Le Corbusier de la photographie dans la publication et la diffusion de son oeuvre au cours des années 1920 et 1930, en prenant comme exemple paradigmatique de la Ville Church, Ville-d’Avray. Pour ce faire, nous proposons une lecture alternative à celle réalisée, de ce moyen, par Colomina (1988), en nous appuyant sur l'interpretation de la photographie surréaliste, effectuée par Rosalind Krauss (1981), comme signe et lecture. Concevant la photographie comme signe et lecture. Concevant la photographie come support matériel et lieu de dépôt de l'information - une sorte d’archive visuel prêt à être manipulé comme évidence documentaire, voire comme instrument autonome, dans la construction de nouveux signifiants -, nous décrivons une stratégie dans l'édition des photographies qui se caractérise par son autonomie au regard du référent matériel ainsi que par sa manipulation moyennant les procédés partagés avec le Surréalisme. De ce point de vue critique, la photographie serait une technique ayant pour but de produire non pas des images mais des 'signes' dont la fonction est celle d'élargir et d'amplifier notre compréhension de la réalité et de l’architecture comme construction de cette dernière.
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[EN] The article proposes an analysis of Le Corbusier’s use of photography during the 1920s and 1930s for the publication and dissemination of his work, specifically looking at the images of the villa Church, Ville-d'Avray, as ...[+]
[EN] The article proposes an analysis of Le Corbusier’s use of photography during the 1920s and 1930s for the publication and dissemination of his work, specifically looking at the images of the villa Church, Ville-d'Avray, as a paradigmatic example and a case study. Relying on the interpretation of surrealist photography as sign and writing carried out by Rosalind Krauss (1981), we make an argument for an alternative understanding of the use and content of this medium. If the photographic medium is considered as a kind of material support and a repository of information - a sort of visual archive prepared to be used as documentary evidence but also as an autonomous instrument in the construction of new meanings -, the autonomous editing with regard to its material referent and its manipulation with procedures shared with Surrealism became significant. From this critical stand point, photography would be a technique to produce not images but ‘signs’, capable of enlarging our understanding of reality and of architecture.
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