Resumen:
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[EN] Effects of inclusion of fat oil or full-fat seeds in rabbit diets
are reviewed. Rabbits kits are able to ingest and to efficiently digest
large quantities of milk lipids. About 40% of the milk fat consists ...[+]
[EN] Effects of inclusion of fat oil or full-fat seeds in rabbit diets
are reviewed. Rabbits kits are able to ingest and to efficiently digest
large quantities of milk lipids. About 40% of the milk fat consists of
medium-chain fatty acids (C8:0 and C10:0). Rabbits digest dietary
lipids in a way comparable to other monogastric animals. With the
exception of tallow, added fat or oil is nearly 100% digestible, especially
at low levels of inclusion. The dietary inclusion of fats or full-fat
soybeans is well accepted by the rabbits and does not provoke
palatability problems. Growth rate of fryers is commonly not influenced
by dietary fat addition but, due to the increased energy density, a more
favorable feed efficiency is obtained. However, a replacement of starch
by fat, on an iso-energetic basis, increases the carcass lipid content. In lactating does, dietary fat addition leads to a higher daily DE intake
( +5%/1 % of fat). This additional energy intake is primarily used for
increased milk production. Fat addition modifies milk composition and
carcass lipids of fryers. The dietary fatty acid pattern has a regulating
effect on meat fatty acid content. The major interest for the use of fats is
to increase the energy concentration of the fibrous rabbit diets.
However, fat-added diets are only economically acceptable in intensive
rabbit meat production systems to favour feed efficiency. Under
practica! feeding conditions, fat addition is limited to 2-3% in order to
maintain the durability of the pellets. Finally, fats also show sorne
potential to reduce thermal stress because under hot environmental
temperatures, energy intake tends to be higher.
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[FR] Les effets de l'incorporation d'huiles ou d'oléagineux dans l'alimentation
du lapin sont passés en revue. Les lapereaux sont capables d'ingérer et
de digérer efficacement la grande quantité de lipides du lait. ...[+]
[FR] Les effets de l'incorporation d'huiles ou d'oléagineux dans l'alimentation
du lapin sont passés en revue. Les lapereaux sont capables d'ingérer et
de digérer efficacement la grande quantité de lipides du lait. Environ
40% des lipides du lait sont constitués d'acides gras a chaTne moyenne
(C8:0 et C10:0). Les lapins adultes digérent les lipides de l'aliment de
maniere comparable a celle des autres monongastriques. A l'exception
du suif, la matiére grasse ou l'huile ajoutées sont digérées a presque
100%, surtout lorsque les taux d'incorporation sont bas. L'incorporation
dans le régime des matiéres grasses ou de graines entiéres de soja est
bien acceptée par le lapin et ne provoque pas de probléme de
d'appétence. La vitesse de croissance des lapins de chair n'est pas
influencée par l'incorporation de matiéres grasses mais, a cause de
l'augmentation de l'énergie disponible, on obtient une meilleure efficacité
alimentaire. Cependant, si on remplace sur une base iso-énergétique
l'amidon par une matiére grasse, on obtient des carcasses plus
grasses. Chez la lapine allaitante, l'incorporation de matiéres grasses dans l'aliment provoque une augmentation de l'ingestion quotidienne
d'énergie digestible (+5%/1% de matiére grasse). Ce surplus d'énergie
ingérée est principalement utilisé a accroitre la production laitiére.
L'addition de matiéres grasses modifie la composition des lipides du lait
et ceux des lapins de chair. La composition en acides gras du régime a
un effet régulateur sur la composition en acides gras de la viande. Le
principal intérét de l'incorporation de matiéres grasses est d'augmenter
l'énergie digestible des régimes riches en fibres. Cependant, les
régimes supplémentés en matiére grasses ne sont économiquement
acceptables que dans les systémes de production intensive de lapin de
chair afin d'optimiser l'efficacité alimentaire. Dans les conditions
pratiques d'alimentation, l'addition de matiéres grasses doit étre limitée
a 2-3% en raison de son effet négatif sur la durabilité des granulés. De
plus, l'accroissement de la teneur en matiéres grasses semble aussi
étre capable de réduire le stress dQ a la chaleur, parce dans un
environnement chaud, la quantité d'énergie ingérée tend a se maintenir.
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