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FATS IN RABBIT NUTRITION : A REVIEW

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FATS IN RABBIT NUTRITION : A REVIEW

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dc.contributor.author MAERTENS, L.
dc.date.accessioned 2011-03-14T12:22:12Z
dc.date.available 2011-03-14T12:22:12Z
dc.date.issued 1998
dc.identifier.issn 1257-5011
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/10251/10325
dc.description.abstract [EN] Effects of inclusion of fat oil or full-fat seeds in rabbit diets are reviewed. Rabbits kits are able to ingest and to efficiently digest large quantities of milk lipids. About 40% of the milk fat consists of medium-chain fatty acids (C8:0 and C10:0). Rabbits digest dietary lipids in a way comparable to other monogastric animals. With the exception of tallow, added fat or oil is nearly 100% digestible, especially at low levels of inclusion. The dietary inclusion of fats or full-fat soybeans is well accepted by the rabbits and does not provoke palatability problems. Growth rate of fryers is commonly not influenced by dietary fat addition but, due to the increased energy density, a more favorable feed efficiency is obtained. However, a replacement of starch by fat, on an iso-energetic basis, increases the carcass lipid content. In lactating does, dietary fat addition leads to a higher daily DE intake ( +5%/1 % of fat). This additional energy intake is primarily used for increased milk production. Fat addition modifies milk composition and carcass lipids of fryers. The dietary fatty acid pattern has a regulating effect on meat fatty acid content. The major interest for the use of fats is to increase the energy concentration of the fibrous rabbit diets. However, fat-added diets are only economically acceptable in intensive rabbit meat production systems to favour feed efficiency. Under practica! feeding conditions, fat addition is limited to 2-3% in order to maintain the durability of the pellets. Finally, fats also show sorne potential to reduce thermal stress because under hot environmental temperatures, energy intake tends to be higher. es_ES
dc.description.abstract [FR] Les effets de l'incorporation d'huiles ou d'oléagineux dans l'alimentation du lapin sont passés en revue. Les lapereaux sont capables d'ingérer et de digérer efficacement la grande quantité de lipides du lait. Environ 40% des lipides du lait sont constitués d'acides gras a chaTne moyenne (C8:0 et C10:0). Les lapins adultes digérent les lipides de l'aliment de maniere comparable a celle des autres monongastriques. A l'exception du suif, la matiére grasse ou l'huile ajoutées sont digérées a presque 100%, surtout lorsque les taux d'incorporation sont bas. L'incorporation dans le régime des matiéres grasses ou de graines entiéres de soja est bien acceptée par le lapin et ne provoque pas de probléme de d'appétence. La vitesse de croissance des lapins de chair n'est pas influencée par l'incorporation de matiéres grasses mais, a cause de l'augmentation de l'énergie disponible, on obtient une meilleure efficacité alimentaire. Cependant, si on remplace sur une base iso-énergétique l'amidon par une matiére grasse, on obtient des carcasses plus grasses. Chez la lapine allaitante, l'incorporation de matiéres grasses dans l'aliment provoque une augmentation de l'ingestion quotidienne d'énergie digestible (+5%/1% de matiére grasse). Ce surplus d'énergie ingérée est principalement utilisé a accroitre la production laitiére. L'addition de matiéres grasses modifie la composition des lipides du lait et ceux des lapins de chair. La composition en acides gras du régime a un effet régulateur sur la composition en acides gras de la viande. Le principal intérét de l'incorporation de matiéres grasses est d'augmenter l'énergie digestible des régimes riches en fibres. Cependant, les régimes supplémentés en matiére grasses ne sont économiquement acceptables que dans les systémes de production intensive de lapin de chair afin d'optimiser l'efficacité alimentaire. Dans les conditions pratiques d'alimentation, l'addition de matiéres grasses doit étre limitée a 2-3% en raison de son effet négatif sur la durabilité des granulés. De plus, l'accroissement de la teneur en matiéres grasses semble aussi étre capable de réduire le stress dQ a la chaleur, parce dans un environnement chaud, la quantité d'énergie ingérée tend a se maintenir.
dc.language Inglés es_ES
dc.publisher World Rabbit Science. ICTA. UPV es_ES
dc.relation.ispartof World Rabbit Science
dc.rights Reserva de todos los derechos es_ES
dc.title FATS IN RABBIT NUTRITION : A REVIEW es_ES
dc.type Artículo es_ES
dc.date.updated 2011-03-14T11:50:11Z
dc.identifier.doi 10.4995/wrs.1998.366
dc.rights.accessRights Abierto es_ES
dc.description.bibliographicCitation Maertens, L. (1998). FATS IN RABBIT NUTRITION : A REVIEW. World Rabbit Science. 6(3-4). https://doi.org/10.4995/wrs.1998.366 es_ES
dc.description.accrualMethod SWORD es_ES
dc.relation.publisherversion https://doi.org/10.4995/wrs.1998.366
dc.description.volume 6
dc.description.issue 3-4
dc.identifier.eissn 1989-8886 es_ES


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