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RABBIT PRODUCTION IN UGANDA : POTENTIAL VERSUS OPPORTUNITY

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RABBIT PRODUCTION IN UGANDA : POTENTIAL VERSUS OPPORTUNITY

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dc.contributor.author LUKEFAHR, S.D.
dc.date.accessioned 2011-03-14T12:26:09Z
dc.date.available 2011-03-14T12:26:09Z
dc.date.issued 1998
dc.identifier.issn 1257-5011
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/10251/10329
dc.description.abstract [EN] In only the past ten years, meat rabbit production in Uganda has been actively prometed by enthusiasts, via the "Rabbit Craze", as a get rich quick business opportunity with unlimited potential markets, both domestic and abroad. In Kampala, the capital of Uganda, the infantile rabbit industry can generally be described as a semiintensive, commercial production system based on high costs of investment (breeding stock, shelter, and wire hutches) and operation (pelleted feed and labor), and non-realized profitability. Further, purebred seedstock producers sell animals at exorbitant prices (25,000-70,000 USH(Uganda shillings) [exchange rate: 1,225 USH = 1 USO]), and feed companies sell pelleted feed at high prices (300-400 USH/kg or 0.24-0.33 USD/kg). This business exploitation invariably forces commercial rabbit producers to sell fryers at light market weights (-2 kg liveweight) and at high market prices in an attempt to recover business costs. In turn, sellers typically double market prices, which further ínflate consumer costs at 4,000-5,000 USH/kg. Current market costs for beef and chicken are lower at about 1, 700 and 2,200 USH/kg. High consumer costs llmit market demand. Notwithstanding this, rabbit meat is not traditionally consumed by Ugandans. In Kampala, only two meat markets, two restaurants, and one university sell rabbit meat (estimated volume of only 100-200 fryers/month). Customers are mostly expatriates. As expected, many commercial producers have lost money, abandonment rate has been moderate to high, and the present reputation of rabbit production is waning. Paradoxically, real opportunities exist in Uganda to foster development by assisting needy families through a grassroots level, village-based rabbit program. Rabbits can benefrt many families, nutritionally and economically, in less time than many other livestock projects and at lower investment costs, but only if a sound project plan is implemented. A proposed development project consists of a subsistence production system, whereby utilization of renewable farm resources (e.g., 5-doe unit, local feeds and building materials, and family labor) and home consumption of inexpensive rabbit meat are primarily emphasized. Concurrently, an economic incentive must co-exist to encourage rabbit productlon. Appropriate and timely rabbit training, nutrition education, and market development activities will be critical. The initial management of limited pilot projects should foster the gradual development of rabbit meat consumption in villages as a short-term goal and expansion of formal markets for rabbit meat as a long-term goal. An opportunity and a challenge exist to develop a technically sound and sustainable rabblt program in Uganda. es_ES
dc.description.abstract [FR] En Ouganda, c'est seulement au cours des 10 dernieres années que la production du lapin de chair a été activement développée par quelques passionnés, via "la folie du lapin", comme étant une occasion de revenu rapide sur un marché au potentiel illimité, a la fois intérieur et exportateur. A Kampala, capitale de l'Ouganda, !'industrie naissante du lapin peut étre décrite comme semi intensive ; son le systéme de commercialisation est basé sur des coOts d'investissement (cheptel, abri, cagas grillagées), d'aliments et de main d'oeuvre tres élevés et un rentabilité théorique jamais atteinte. De plus les producteurs d'animaux race pura les vendent a des prix exorbitants (25 000 - 70 000 USH (Shilling ougandais) (taux de changa: 1 225 USH = 1 USO) et les fabricants d'aliments vendent le granulé tres cher (300-400 USH/kg soit 0.24 - 0.33 USD/kg). Cette exploitation commerciale amene inévitablement les producteurs de lapins de chair a mettre leurs animaux sur le marché a des poids faibles ("' 2kg de poids vif) et a un prix élevé, pour essayer de récupérer le coat de production. De fait, les revendeurs doublent pratiquement le prix d'achat ce qui hausse le prix pour le consommateur a 4 000-5 000 SH/kg. Le boeuf et le poulet sont vendus sur le marché a enviren 1 700 et 2 200 USH/KG respectivement, c'est a dire nettement moins chers. Le prix élevé a la consommation limite la demande du marché. En cutre, la consommation de vianda de lapin n'est pas dans la tradition Ougandaise. A Kampala, seulement deux marchés, deux restaurants et une université vendent de la vianda de lapin (quantité estimée: 100-200 lapins/mois). Les clients sont principalement des étrangers. Comme prévu, beaucoup de producteurs ont perdu de l'argent, le taux d'abandon allant de modéré a fort, et la réputation de l'élevage cunicole décrott actuellement. Paradoxalement de réelles chances de développement existent en Ouganda a travers l'aide tres pratique aux familias dans le besoin et des programmes villageois d'élevage cunicole. Le lapin peut étre une aide substantielle, nutritionnelle et économique, pour beaucoup de familles, dans un délai beaucoup plus court que pour d'autres cheptels, avec un coOt d'investissement moindre, mais seulement si un projet pertinent est mis en place. Le projet de développement proposé par l'auteur vise a une production de subsistance, ou l'utilisation des ressources renouvelables de la ferme (e.g. : unité de 5 lapines, aliment et matériaux de construction locaux, travail familial) et la consommation familiale d'une viande de lapin a prix de revient tres bas sont recommandés. En méme temps, un encouragement d'ordre économique doit soutenir la production du lapin. Des forrnations appropriées et programmées sur le lapin, une éducation nutritionnelle, des activités propres a développer le marché seront essentielles. La mise en place d'avant projets pilotes limités pour promouvoir graduellement la consommation de lapin dans les villages serait un but a court terme et le développement de marchés organisés, un but a long terrne. 11 existe en Ouganda une chance et un défi au développement d'un programme d'élevage du lapin techniquement valable et durable.
dc.language Inglés es_ES
dc.publisher World Rabbit Science. ICTA. UPV es_ES
dc.relation.ispartof World Rabbit Science
dc.rights Reserva de todos los derechos es_ES
dc.title RABBIT PRODUCTION IN UGANDA : POTENTIAL VERSUS OPPORTUNITY es_ES
dc.type Artículo es_ES
dc.date.updated 2011-03-14T11:50:33Z
dc.identifier.doi 10.4995/wrs.1998.365
dc.rights.accessRights Abierto es_ES
dc.description.bibliographicCitation Lukefahr, S. (1998). RABBIT PRODUCTION IN UGANDA : POTENTIAL VERSUS OPPORTUNITY. World Rabbit Science. 6(3-4). https://doi.org/10.4995/wrs.1998.365 es_ES
dc.description.accrualMethod SWORD es_ES
dc.relation.publisherversion https://doi.org/10.4995/wrs.1998.365
dc.description.volume 6
dc.description.issue 3-4
dc.identifier.eissn 1989-8886 es_ES


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