Resumen:
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[ES] En diciembre de 1950, se involucra Le Corbusier en el diseño de Chandigarh, la que sería nueva capital del
Punjab indio. Como un complemento del proyecto, Le Corbusier integra el monumento de la mano abierta, situado ...[+]
[ES] En diciembre de 1950, se involucra Le Corbusier en el diseño de Chandigarh, la que sería nueva capital del
Punjab indio. Como un complemento del proyecto, Le Corbusier integra el monumento de la mano abierta, situado sobre el
pozo de la contemplación. Le Corbusier declara, desde el principio, que el monumento de las mano abierta es un
"complemento" al programa de Chandigarh, facilitado por "las autoridades". Se trata de una "contribución personal" que
nadie ha solicitado. De hecho, es un elemento "inesperado". Un elemento inusual cuya razón de ser obedece al propio
arquitecto.
Pero cuáles son esas razones? ¿Por qué Le Corbusier sentía la necesidad de añadir un monumento al proyecto de
Chandigarh? ¿Con qué fin? Para la gloria de quién? En vista de qué simbolismo? ¿Por qué darle esta forma? ¿Por qué lo
hizo móvil? ¿Y por qué razón lo ha
colocado en esta plaza que conecta los edificios de la asamblea y de la justicia?
Este trabajo de investigación que vamos a presentar trata de responder a todas estas preguntas. Adopta, para ello, un
enfoque "genético", en la medida que busca comprender la génesis de la obra.
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[FR] En décembre 1950, Le Corbusier est associé à la conception de la nouvelle capitale du Pendjab indien. En
complément du projet, il intégra le monument de la main ouverte élevée au dessus de la fosse de la considération. ...[+]
[FR] En décembre 1950, Le Corbusier est associé à la conception de la nouvelle capitale du Pendjab indien. En
complément du projet, il intégra le monument de la main ouverte élevée au dessus de la fosse de la considération. Le
Corbusier déclare d’emblée que le monument de la Main Ouverte est un « complément » au programme de Chandigarh,
fourni par « l’autorité ». Il est une « contribution personnelle » qui n’a pas de commanditaire. Il est de fait un élément
« inattendu ». Un élément inhabituel qui n’a d’autres raisons d’être que celles propres à son architecte.
Mais justement quelles sont-elles ces raisons ? Pourquoi Le Corbusier a-t-il ressenti le besoin de rajouter un monument au
programme de Chandigarh ? A quelle fin ? A la gloire de qui ? En vue de quelle symbolique ? Pourquoi lui-a-t-il donné cette
forme ? Pourquoi l’a-t-il fait mobile ? Et pourquoi l’a-t-il placé sur cette esplanade qui relie les bâtiments de l’assemblée et
de la justice ? Le travail de recherche ici présenté tente de répondre à toutes ces questions. Il adopte, pour ce faire, une
approche génétique qui cherche à comprendre comment se fait la genèse de l’œuvre.
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