Resumen:
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[EN] Jean-François Peyron was a Secretary of embassy in Madrid between 1777 and 1778. Peyron’s position
and wide knowledge enabled him to publish Nouveau Voyage en Espagne, a literary work in which he
dealt with a large ...[+]
[EN] Jean-François Peyron was a Secretary of embassy in Madrid between 1777 and 1778. Peyron’s position
and wide knowledge enabled him to publish Nouveau Voyage en Espagne, a literary work in which he
dealt with a large number of topics concerning the country that took him in. Amongst the subjects which draw the author’s attention we can find that of hydrography, including seas, rivers, springs, waterfalls,
and brooks. By the same token, he highlights issues that regard the art, epigraphy and ornamental beauty
of man-made water fountains. This sort of decorative symbiosis between stone and water is precisely the
focus of the present study. Thus, in Granada, Peyron takes pleasure in describing the Alhambra fountains
and in transcribing the inscriptions they contain. Furthermore, the traveller deems the fountain basin in
the Courtyard of the Lions and the long pond in the Generalife Palace gardens to be worthy of praise. On
the other hand, he does not like the water jets in the Alcázar of Seville. In the vicinity of Madrid, Peyron
describes the fountains which fill the Buen Retiro Park and those in the main cloister of El Escorial. Some
other structures that the diplomat admires are the ponds in the gardens of La Granja Palace and the
fountains in Aranjuez, Royal Palace, which he visits on his way to Cuenca. Finally, seldom does Peyron
consider a purely utilitarian function of fountains, as is the case with those which stand at crossroads and
squares in Burgos or Madrid
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[ES] Jean-François Peyron fue secretario de embajada en Madrid entre 1777 y 1778. Su cargo y su erudición
le permitieron publicar Nouveau Voyage en Espagne, una obra en la que trató de gran número de temas
relativos al ...[+]
[ES] Jean-François Peyron fue secretario de embajada en Madrid entre 1777 y 1778. Su cargo y su erudición
le permitieron publicar Nouveau Voyage en Espagne, una obra en la que trató de gran número de temas
relativos al país que le acogió. Entre las materias que atraen su atención, se hallan los mares, ríos,
fuentes, cascadas y arroyos a los que se refiere cuando se ocupa de la hidrografía española. Igualmente,
pone de relieve cuestiones concernientes al arte, la epigrafía y la belleza ornamental de las fuentes
construidas por la mano del hombre. Son justamente esos aspectos sobre la simbiosis decorativa de la
piedra y el agua de los que se ocupa este estudio. En Granada, Peyron se complace en describir las
fuentes de la Alhambra y a transcribir las inscripciones que llevan aparejadas. Además, el viajero juzga
admirables la taza del Patio de los Leones y el estanque del palacio del Generalife; por el contrario, en
Sevilla, no le gustan los surtidores del Alcázar. En los alrededores de Madrid, el autor describe las
fuentes que adornan el Buen Retiro, así como las del claustro principal del Escorial. Otras
construcciones que el diplomático admira son los estanques de los jardines de la Granja y las numerosas
fuentes que pueblan Aranjuez, Real Sitio que visita de camino a Cuenca. Por último, Peyron contempla
raramente la función utilitaria de las fuentes, como sucede con las que adornan cruces y plazas en
Burgos o Madrid.
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[FR] Jean-François Peyron a été secrétaire d’ambassade à Madrid entre 1777 et 1778. Ce poste et son
érudition lui ont permis de publier Nouveau Voyage en Espagne, un ouvrage portant sur un grand
nombre de thèmes particuliers ...[+]
[FR] Jean-François Peyron a été secrétaire d’ambassade à Madrid entre 1777 et 1778. Ce poste et son
érudition lui ont permis de publier Nouveau Voyage en Espagne, un ouvrage portant sur un grand
nombre de thèmes particuliers au pays qui l’accueille. Parmi les sujets qui attirent son attention, se
trouvent les mers, les fleuves et rivières, les sources, cascades et ruisseaux, auxquels il se réfère lorsqu’il
s’occupe de l’hydrographie espagnole. De même, des aspects concernant l’art, l’épigraphie et la beauté
ornementale des fontaines créées par la main de l’homme sont mis en relief. Justement, c’est la symbiose
décorative de la pierre épousant l’eau qui fait l’objet de notre étude. À Grenade, Peyron se plaît à
décrire les fontaines de l’Alhambra et à transcrire les inscriptions qui y sont rattachées. De plus, le
voyageur juge admirables les bassins de la Cour des Lions et du palais du Generalife ; par contre, à
Séville, il n’aime pas les jets d’eau de l’Alcazar. Aux alentours de Madrid, Peyron décrit aussi les
fontaines qui ornent le Buen Retiro ainsi que celles du cloître principal de l’Escurial. Une autre des
constructions que le diplomate admire près de la capitale sont les jardins de la Grange, garnis de
bassins, et, tout en poursuivant sa route de Madrid à Cuenca, le diplomate s’arrête à Aranjuez où il parle
du grand nombre de fontaines qui peuplent les jardins. Finalement, la fonction utilitaire n’est envisagée
que rarement, comme il arrive avec les fontaines qui ornent les carrefours et les places de Burgos ou de
Madrid
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